mardi 17 juillet 2007

Kodiak City


Kodiak
Mardi 17 juillet :
Départ d'Anchorage ce matin à 9h40, pour un vol d'1h10 vers Kodiak. Petit avion à hélices d'une trentaine de place (Dash de Havilland). Départ et arrivée à l'heure. Kodiak City est un tout petit aéroport sans police ni douane, qui a un peu l'allure de Marigot Bay à Saint-Martin.
La ville est un port de pêche, avec des canaux et des docks partout. Ca pue un peu le mazout, ou parfois le poisson. En plus, il y a des travaux en ville, qui soulèvent pas mal de poussière.
On a voulu prendre un taxi à l'aéroport, mais le chauffeur, vraiment honnête, a préféré téléphoner à l'hôtel pour qu'on nous envoie la navette. Un peu plus tard, on l'a revu en ville, et il nous a donné une adresse de restaurant de poisson : Donc re-King Salmon.
Après quoi, en visitant la ville, Clémence a explosé ses chaussures de marche, dont la semelle s'est carrément décollée. Et nous voilà, clopin-clopant, à la recherche du (du seul) magasin de chaussures de la ville. Heureusement que ce n'est pas très grand. On trouve de bonnes chaussures de marche "Goretex" et tout, et comme c'est un magasin de sport, je vise aussi un super chapeau, 2 tee-shirts, et 2 ponchos. J'ai tellement chaud dans ma parka, que je pense ne pas la supporter quand on fera de grandes marches. Donc mon équipenent est remanié : Tee-shirt et sac-à-dos dans lequel je mettrai le poncho et une polaire s'il se mettait à faire froid.
Demain départ en hydravion vers la petite île d'Aleut dans Uyak Bay, pour le séjour d'observation des ours avec Harry et Brigid Dodge. Pour se faire une idée de ce séjour, ci-joint le lien sur une agence de voyage lyonnaise qui propose ce séjour : Terres oubliées Voir les jours 4 et 5 à 12, qui correspondent à peu près à ce que j'ai organisé avec Harry.
3000 ours pour 14000 habitants : Avec ça, on devrait les rencontrer !
Il y aura 4 autres personnes, peut-être des français(es), à ce que m'avait dit Harry.

1 commentaire:

Unknown a dit…

Avec cet équipement, si vous ne trouvez pas d'ours, c'est à rien n'y comprendre. Bonne chance pour l'aventure sauvage